de mieux en mieux
Maintenant, pour rattraper les incompétences de nos responsables de secteur, nous autres accompagnateurs devrons passer tous les vendredis, pour récupérer nos fiches de mission et signer le planning hebdomadaire, histoire de prouver que tout est en ordre. Oui, parce que la blagounette, c'est qu'en allant finir de nettoyer chez ma mère, vers neuf heures et demi, j'ai eu un coup de fil du gars qui remplace ma responsable attitrée (actuellement absente pour une durée indéterminée, toujours agréable d'être tenue au courant...), comme quoi fallait que je rappelle urgemment. Je m'exécute, et j'apprends que Mr X, le pauvre, m'a désespérément attendue ce matin à 8h. Et alors, vous avez osé avouer que vous avez oublié de me prévenir ? Ou vous vous êtes dédouané sur mon compte, puisque les absents ont toujours tort ? Non, vous lui avez pas dit, que malgré une adresse mail et deux téléphones, vous n'avez pas été foutus, tous autant que vous êtes, de m'informer que j'avais une nouvelle mission ? Ca me met en rage, de constater que plus les responsables de secteur font de conneries (et depuis deux mois, chais pas si c'est l'euphorie des J.O. mais on atteint des records), plus il faut qu'on rattrape derrière. D'autant que bien entendu, on peut attendre longtemps d'être payés pour ce petit détour hebdomadaire. Ca va finir comme en boite d'intérim, où on va devoir les appeler tous les jours pour savoir si par hasard y aurait pas un abruti qui nous aurait collé un truc comme ça au débotté. Le truc qui m'a le plus énervée, c'est qu'à côté de ça, ça fait huit fois qu'on me demande si j'ai bien les feuilles de mission pour Mme G le vendredi - oui, je les ai TOUTES eues en début de mois, c'est ballot, pour une fois que vous sembliez avoir un brin de conscience professionnelle et un soupçon de doute quant à vos méthodes d'organisation, ben j'vous ai doublés. Et le plus frustrant, c'est que je vois le directeur demain mais que je vais même pas pouvoir lui parler de l'incompétence de ses cadres, vu qu'on y va entre collègues pour négocier une augmentation (vous conviendrez que ça ferait tâche...).
A part ça, mon saumon mariné de mardi midi était un pur régal, par pur hasard (cuisiner au pif, des fois ça marche), et les moules-frites maison du soir étaient assez orgiaques aussi - disons que si on a échangé trois mots pendant le diner, avec Raph et André, c'est qu'on vidangeait nos assiettes des coquilles vides avant de se resservir :) Et là, shame on me qui ai pris deux kilos en deux jours (la faute aux fringales cannabiques, que j'ai tenté de gruger en ne mangeant que des légumes, mais quatre repas dans la journée ça trompe personne), je me suis boulotté une pâte à tarte, deux tomates, un saint-marcellin et un cul de parmesan, arrosés d'huile d'olive (en gros j'ai fait une tarte à la tomate expérimentale et damned, même avec une pâte industrielle trop sucrée, c'est trop bon !). Bon, c'est pas la mort non plus, hein, je vous rassure tout de suite au cas où, je ne fais pas partie des 63% de françaises de poids correct qui se trouvent trop grosses (faut pas pousser), mais ça me vexe un peu que ma balance me fasse des tours pendables de ce genre - non au hakik, ce fléau qui détruit la motivation et vide le frigo :)
Et sinon, le châtiment de mon addiction est tombé (le vrai, la vraie) : à force d'acheter des fringues et des godasses à tire-larigot, ben j'ai pu d'sous :( J'ai deux cent euros d'avoir chez Tiwakan donc ma penderie devrait survivre, mais en attendant, ma belle épargne toute neuve va probablement finir dans la poche des sites marchands américains - oui, voilà, ça c'est un bon exemple d'anti-américanisme primaire - et de la félonie des habitants de la perfide Albion, vu que si Cécile m'avait prévenue plus tôt, j'aurais économisé vingt euros sur ma dernière paire, fausse soeur ! Ah oui, merde, c'est à peu près ça... Et en plus c'est sur un site français, ce coup-ci, désolée :) Nan mais en vrai c'est la faute à la Caf, ils ont gentiment oublié de me prévenir qu'ils me sucraient mes apl à partir de février, ces fieffés connards. Chui bien d'accord que je gagne assez, mais dites-le, merde, qu'on s'organise.
Voilà, c'était la minute "les jeunes riches et minces ont elles aussi des problèmes de poids et d'argent", en hommage à Fanny, qui en chie bien plus que nous. Où va se nicher l'empathie, j'vous jure... Ceci dit, si je ne parle pas de mes petits ennuis, où est l'intérêt masturbatoire de ce blog, franchement - ah, et honnêtement, pour ceux et celles qui ont participé au débat de samedi soir sur les mots les plus moches : est-ce que "masturbatoire" n'est pas authentiquement encore plus laid que "masturbation" ? Et "vulvaire", tant qu'on y est, ça vous évoque pas un genre de rustines pour pneus ? Bon, ok, on parle peut-être plus quotidiennement de pratiques masturbatoires que de pics d'activité vulvaire, mais quand même. Et voilà, ça a viré à la minute pine, mais c'est pas ma faute si le vocabulaire du sexe est si vilain. Entre "testicules" qui rime avec ridicule, "scrotum" qui fait maladie évolutive, et "périnée" si proche de périmé, on comprend les gens qui préfèrent parler de la fragilité de leurs bouboulinettes ou de la délicatesse de leur chatte. Et encore, on s'en sort bien puisque l'essentiel est sobre - pénis, vagin, orgasme, ça sonne pas mal, non ? Je crois qu'il faut vraiment que j'aille dormir...
A part ça, mon saumon mariné de mardi midi était un pur régal, par pur hasard (cuisiner au pif, des fois ça marche), et les moules-frites maison du soir étaient assez orgiaques aussi - disons que si on a échangé trois mots pendant le diner, avec Raph et André, c'est qu'on vidangeait nos assiettes des coquilles vides avant de se resservir :) Et là, shame on me qui ai pris deux kilos en deux jours (la faute aux fringales cannabiques, que j'ai tenté de gruger en ne mangeant que des légumes, mais quatre repas dans la journée ça trompe personne), je me suis boulotté une pâte à tarte, deux tomates, un saint-marcellin et un cul de parmesan, arrosés d'huile d'olive (en gros j'ai fait une tarte à la tomate expérimentale et damned, même avec une pâte industrielle trop sucrée, c'est trop bon !). Bon, c'est pas la mort non plus, hein, je vous rassure tout de suite au cas où, je ne fais pas partie des 63% de françaises de poids correct qui se trouvent trop grosses (faut pas pousser), mais ça me vexe un peu que ma balance me fasse des tours pendables de ce genre - non au hakik, ce fléau qui détruit la motivation et vide le frigo :)
Et sinon, le châtiment de mon addiction est tombé (le vrai, la vraie) : à force d'acheter des fringues et des godasses à tire-larigot, ben j'ai pu d'sous :( J'ai deux cent euros d'avoir chez Tiwakan donc ma penderie devrait survivre, mais en attendant, ma belle épargne toute neuve va probablement finir dans la poche des sites marchands américains - oui, voilà, ça c'est un bon exemple d'anti-américanisme primaire - et de la félonie des habitants de la perfide Albion, vu que si Cécile m'avait prévenue plus tôt, j'aurais économisé vingt euros sur ma dernière paire, fausse soeur ! Ah oui, merde, c'est à peu près ça... Et en plus c'est sur un site français, ce coup-ci, désolée :) Nan mais en vrai c'est la faute à la Caf, ils ont gentiment oublié de me prévenir qu'ils me sucraient mes apl à partir de février, ces fieffés connards. Chui bien d'accord que je gagne assez, mais dites-le, merde, qu'on s'organise.
Voilà, c'était la minute "les jeunes riches et minces ont elles aussi des problèmes de poids et d'argent", en hommage à Fanny, qui en chie bien plus que nous. Où va se nicher l'empathie, j'vous jure... Ceci dit, si je ne parle pas de mes petits ennuis, où est l'intérêt masturbatoire de ce blog, franchement - ah, et honnêtement, pour ceux et celles qui ont participé au débat de samedi soir sur les mots les plus moches : est-ce que "masturbatoire" n'est pas authentiquement encore plus laid que "masturbation" ? Et "vulvaire", tant qu'on y est, ça vous évoque pas un genre de rustines pour pneus ? Bon, ok, on parle peut-être plus quotidiennement de pratiques masturbatoires que de pics d'activité vulvaire, mais quand même. Et voilà, ça a viré à la minute pine, mais c'est pas ma faute si le vocabulaire du sexe est si vilain. Entre "testicules" qui rime avec ridicule, "scrotum" qui fait maladie évolutive, et "périnée" si proche de périmé, on comprend les gens qui préfèrent parler de la fragilité de leurs bouboulinettes ou de la délicatesse de leur chatte. Et encore, on s'en sort bien puisque l'essentiel est sobre - pénis, vagin, orgasme, ça sonne pas mal, non ? Je crois qu'il faut vraiment que j'aille dormir...