je pressens une semaine de merde...
Bon... Il parait que mon style se relâche, et comme mes nerfs me lâchent, ce blog va droit au crash :).
Hier après-midi je pensais aller me faire chier à la plage avec Albert, mon handi du samedi, et une amie de sa mère, qui doit le surveiller pendant la baignade. Oui parce que moi en fait j'ai pas le droit de le faire, et en plus je l'ai fait plutôt mal la dernière fois. Il est vrai que j'ai éprouvé quelques difficultés à garder un oeil sur Albert (dans l'eau) et l'autre sur nos affaires (pas dans l'eau). Sans compter que pousser un fauteuil chargé dans le sable d'une main, en tenant le gars de l'autre (il marche un peu à la crabe, c'est fun mais casse-gueule), c'est sport... Du coup, évidemment, dès que je l'ai lâché pour passer le fauteuil par-dessus les caillasses, il s'est mollement effondré sur lesdites caillasses. Oups... La prochaine fois j'ferais pas ma fière et j'accepterais l'aide qu'on m'a serviablement proposé (j'devais vraiment avoir l'air de misérer).
Bref, pas moyen d'aller à la plage, l'amie de sa mère s'est retrouvée aux urgences le samedi à 13 h son cousin s'était bloqué le dos en soulevant un truc, passionnant mais ça m'aide pas, j'ai pas de plan de rechange et plus des masses d'essence. Lui, pas le moral et envie de campagne (en même temps avec lui c'est simple, si c'est pas plage, c'est cambrousse). Va pour l'exploration des cheminets (oui, les tout petits chemins) dans les environs d'Aix, du côté du Montaiguet. On finit par enquiller le chemin de Chante Perdrix, bucolique à souhait, et surtout complètement hors du monde. Pour vous donner une idée, voilà ce qu'on a trouvé au bout d'un quart d'heure de tape-cul sur les cailloux :
Ca a fait rire Albert cinq minutes et j'avais moins l'impression d'avoir perdu ma journée.
Hier après-midi je pensais aller me faire chier à la plage avec Albert, mon handi du samedi, et une amie de sa mère, qui doit le surveiller pendant la baignade. Oui parce que moi en fait j'ai pas le droit de le faire, et en plus je l'ai fait plutôt mal la dernière fois. Il est vrai que j'ai éprouvé quelques difficultés à garder un oeil sur Albert (dans l'eau) et l'autre sur nos affaires (pas dans l'eau). Sans compter que pousser un fauteuil chargé dans le sable d'une main, en tenant le gars de l'autre (il marche un peu à la crabe, c'est fun mais casse-gueule), c'est sport... Du coup, évidemment, dès que je l'ai lâché pour passer le fauteuil par-dessus les caillasses, il s'est mollement effondré sur lesdites caillasses. Oups... La prochaine fois j'ferais pas ma fière et j'accepterais l'aide qu'on m'a serviablement proposé (j'devais vraiment avoir l'air de misérer).
Bref, pas moyen d'aller à la plage, l'amie de sa mère s'est retrouvée aux urgences le samedi à 13 h son cousin s'était bloqué le dos en soulevant un truc, passionnant mais ça m'aide pas, j'ai pas de plan de rechange et plus des masses d'essence. Lui, pas le moral et envie de campagne (en même temps avec lui c'est simple, si c'est pas plage, c'est cambrousse). Va pour l'exploration des cheminets (oui, les tout petits chemins) dans les environs d'Aix, du côté du Montaiguet. On finit par enquiller le chemin de Chante Perdrix, bucolique à souhait, et surtout complètement hors du monde. Pour vous donner une idée, voilà ce qu'on a trouvé au bout d'un quart d'heure de tape-cul sur les cailloux :
Ca a fait rire Albert cinq minutes et j'avais moins l'impression d'avoir perdu ma journée.